Et si votre cerveau corrigeait tout… même un peu trop ?
Le cerveau adore corriger
C’est simple : à chaque seconde, notre cerveau compare. Il vérifie si ce qu’on vit correspond à ce qu’il attendait. Et si ça ne colle pas, il se met au travail pour comprendre ce qui cloche et corriger le tir.
C’est ce qui nous permet :
- de mieux viser un ballon la fois suivante,
- de retrouver notre chemin si on se perd,
- ou encore de réagir plus vite à une erreur en compétition.
Ce “logiciel de correction”, c’est un super pouvoir.
Mais parfois, il ne s’arrête plus…
Le problème, c’est que ce mécanisme peut s’emballer :
- On commence à douter de tout.
- On rumine une erreur pendant des heures.
- On veut tout contrôler, tout prévoir, ne rien laisser au hasard.
- On perd la spontanéité, le plaisir… et souvent, la confiance.
Le cerveau cherche encore et encore ce qui n’a pas marché, au lieu de passer à autre chose. Comme s’il voulait tellement corriger… qu’il oubliait de vivre.
Mon accompagnement : remettre du calme dans le système
Dans les séances que je propose, on vient souvent apaiser ce correcteur intérieur.
Comment ?
- En reconnectant au corps, pour calmer les pensées qui tournent en boucle.
- En redonnant au cerveau la permission de faire des erreurs sans jugement.
- En apprenant à observer ce qui se passe, sans vouloir tout contrôler.
C’est un chemin vers plus de fluidité, de lâcher-prise, de confiance en soi.
Et si l’erreur était un allié ?
Au fond, une erreur n’est pas un échec. C’est juste un signal. Une information. Un tremplin.
Notre cerveau est fait pour apprendre, pas pour être parfait.
« L’erreur n’est pas un problème. C’est ce que vous en faites qui fait toute la différence. »